La signature du protocole d’accord tripartite pour le lancement officiel du projet Ndollè City et des projets intégrés marque un tournant décisif.
Une alliance stratégique pour une nouvelle ère de développement
La signature du protocole d’accord tripartite pour le lancement officiel du projet Ndollè City et des projets intégrés marque un tournant décisif. Mais qui sont réellement les trois entités signataires de ce document historique ?
1. L’État du Cameroun
À travers le Ministre d’État, Ministère du Tourisme et des Loisirs, l’État du Cameroun s’engage comme garant institutionnel et catalyseur politique du projet. En signant ce protocole, il affirme sa volonté de soutenir les investissements structurants, porteurs d’innovation, d’emploi et de développement territorial. C’est également un signal fort envoyé aux partenaires internationaux quant à la stabilité, la crédibilité et la volonté du pays d’accueillir des projets d’envergure.
2. Impex Trading Sarl (Cameroun)
Filiale opérationnelle du groupe, Impex Trading Sarl agit comme interface locale du consortium international. Son rôle est central dans la coordination des actions sur le terrain, l’accompagnement des partenaires techniques et institutionnels, et la gestion administrative du projet dans le respect des normes camerounaises. En tant que partie signataire, elle formalise l’engagement du groupe à réaliser les investissements conformément aux dispositions réglementaires et aux exigences du développement durable.
3. Le RD Congo Investment Fund SA (RDCIF) : catalyseur financier panafricain
Le troisième signataire du protocole d’accord est membre du consortium des 5300 entreprises internationales et partenaires et l’une des des entités principales de Grand Impex Trading Ltd, le RD Congo Investment Fund SA (RDCIF), un fonds souverain stratégique de droit privé basé en République Démocratique du Congo.
Doté d’un droit de tirage exceptionnel de 170 milliards $US sur 20 ans, avec l’encadrement technique notamment de la Banque mondiale, RDCIF a pour mission d’appuyer la transformation structurelle des économies africaines à travers des investissements massifs, durables et inclusifs.
Son positionnement dans ce protocole est hautement symbolique et stratégique :
• Il marque la volonté d’intégrer des mécanismes panafricains de financement souverain dans le développement des grands projets d’infrastructures.
• Il garantit la viabilité et la traçabilité des engagements financiers, dans une dynamique concertée entre secteur public, secteur privé, et partenaires internationaux.
Dans le projet Ndollè City, RDCIF joue un rôle structurant, en apportant non seulement un levier financier de taille, mais aussi une vision intégrée de co-développement entre États africains, à travers une ingénierie financière novatrice.
Cette signature à trois voix symbolise l’union entre vision politique, exécution technique locale et capacité de financement internationale, autour d’un même objectif : transformer Ndollè City en une vitrine de l’Afrique émergente.
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