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Les villes intermédiaires, par leur position géographique et leur dimension sociale, sont des liens naturels entre le rural et le métropolitain.

 

Les villes intermédiaires : clés de la transformation urbaine africaine. Pourquoi les territoires de taille moyenne comme Ndollè City sont au cœur du futur urbain du continent?

En Afrique, l’urbanisation s’accélère à un rythme sans précédent. Pourtant, les politiques et les regards se concentrent encore majoritairement sur les grandes capitales régionales : Lagos, Kinshasa, Abidjan, Nairobi.

Pourtant, selon l’ONU-Habitat, plus de 60 % de la croissance urbaine africaine d’ici 2040 se produira dans les villes intermédiaires. Ces centres de taille moyenne souvent oubliés, mais déterminants.

Ces villes à taille humaine qui changent l’échelle du développement!

Les villes intermédiaires, par leur position géographique et leur dimension sociale, sont des liens naturels entre le rural et le métropolitain. Elles concentrent des flux économiques essentiels, facilitent la proximité citoyenne, tout en offrant un potentiel d’aménagement mieux maîtrisé.

Mais toutes ne connaissent pas le même destin. Au Cameroun, certaines anciennes villes phares ont connu un déclin progressif.

Villes intermédiaires populaires hier, en perte de vitesse aujourd’hui!

Des villes comme Nkongsamba, Kumba, Sangmélima ou Abong-Mbang ont longtemps été considérées comme des centres vitaux.

Ces villes ont joué un rôle stratégique dans le maillage territorial du Cameroun. Nkongsamba, par exemple, était un pôle agro-industriel majeur grâce à la culture du café et à sa position sur l’ancienne ligne ferroviaire Douala-Ouest. Kumba, surnommée la “porte du Sud-Ouest”, était un carrefour commercial incontournable, notamment pour les produits agricoles comme le cacao et l’huile de palme.

Sangmélima, au sud, a longtemps été un centre administratif et un point de passage vers les régions forestières, tandis qu’Abong-Mbang, dans l’Est, servait de relais entre les zones forestières et les grands centres urbains. Ces villes disposaient d’infrastructures de santé, d’éducation et de commerce qui les rendaient attractives et dynamiques

Mais en l’absence d’investissements structurants et d’une vision renouvelée, beaucoup ont vu leur influence diminuer, piégées entre obsolescence des infrastructures et exode des talents.

Des villes qui renaissent par la stratégie!

D’autres centres, comme Kribi (portuaire), Bafoussam (capitale régionale modernisée), Limbé ou Ngaoundéré, montrent que la stratégie d’investissement ciblé peut inverser la tendance.

Elles prouvent qu’en alliant vision territoriale, partenariats solides, et projets intégrés, les villes intermédiaires peuvent redevenir des leviers puissants du développement.

Sikoum : catalyseur discret d’une nouvelle urbanité!

 

C’est dans cette logique que le village Sikoum, situé à environ 30 km de Douala le long de l’axe stratégique Douala-Yaoundé, arrondissement de la Dibamba, Département de la Sanaga Maritime entre en scène.

Encore peu urbanisé, mais stratégiquement positionné, Sikoum réunit les conditions idéales pour incarner une ville intermédiaire d’un nouveau type :

•  Proximité avec l’autoroute et les grands axes logistiques,

•  Disponibilité foncière,

• Contexte socio-économique propice à l’inclusion et à l’innovation.

Ndollè City et le WDI : un pari structurant sur 1 500 hectares

C’est sur ces bases s’élèvera Ndollè City, premier projet du programme World Dream Investment (WDI) porté par Impex Trading Sarl et ses partenaires du Consortium Grand Impex Trading LTD (GIT).

Conçu comme une ville autonome, écotouristique et digitale, Ndollè City ambitionne de :

•  Créer un modèle urbain moderne, durable et africain,

•  Promouvoir les savoir-faire locaux dans un cadre connecté aux chaînes de valeur internationales,

•  Servir de plateforme d’échanges entre le Cameroun et les places financières du monde.

Ce projet n’est pas un îlot de luxe : c’est un prototype de ville à échelle réelle pour les villes intermédiaires d’Afrique.

Une dynamique adossée à un partenariat international inédit

La vision portée par Ndollè City s’inscrit dans une démarche d’investissement public-privé ambitieuse, à l’image du partenariat stratégique entre l’État du Cameroun, Impex Trading SARL et le Consortium GIT.

Ce partenariat, adossé à une recommandation institutionnelle majeure, vise à mobiliser des moyens sans précédent (plus de 10 milliards de dollars US) pour impulser une nouvelle génération de projets urbains, industriels et territoriaux.

Conclusion : la ville intermédiaire comme clé de voûte

 

Les villes intermédiaires ne sont pas des zones secondaires. Elles sont des nœuds de rééquilibrage territorial, des points d’ancrage pour une Afrique inclusive et moderne.

Ndollè City, à Sikoum situé dans l’arrondissement de la Dibamba, Région du Littoral Cameroun, sera la première illustration concrète d’un futur qui conjugue échelle humaine, ambition internationale et résilience urbaine.

Pour aller plus loin, suivez notre série Ndollè Talks : décryptages, interviews et coulisses du programme WDI sur notre blog.

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